Pandémie 2020, vies humaines
Revue Pourtant
Édito
À la survenue de cette pandémie, nous travaillions depuis septembre 2019 à la création du n°1 de Pourtant, revue littéraire et photographique, volontairement en “papier” pour s’échanger, se feuilleter, se dire et s’exposer lors de rencontres festives et d’événements, partout dans le pays, sur une place de village, en librairie ou dans un festival.
Dimanche 15 mars, veille du confinement et du discours du président de la République, nous avions reçu plus de 200 textes et photographies suite à notre 1er appel à contributions. Nous avons alors ressenti la nécessité d’écrire une autre revue. Prendre note du silence et de ses bruits, de la cour d’école en face sans cris, de la naissance des masques sur les bouches, écrire le temps à la fois retrouvé et arrêté.
Notre idée est, avec l’œil, la sensibilité et la profondeur de nos autrices, auteurs et photographes d’enregistrer ce moment, pour en garder la trace après.
Isabelle, Christine et Gilles
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Sommaire
6 réponses sur « Pandémie 2020, vies humaines : édito »
[…] lancé l’idée de ce numéro en ligne dimanche 15 mars, comme nous le racontons dans son édito. Il nous paraissait tout aussi impossible d’arrêter la préparation de notre numéro 1 en […]
[…] Mirjol propose aux lecteurs du numéro en ligne Pandémie 2020, vies humaines de la Revue Pourtant cette série de fables qu’elle publie sur sa page Instagram, […]
[…] Dans cette série Ce monde est flou, la photographe Florence White poursuit son travail d’observation commencé avec Pandémie. Pourtant, les fleurs, dans ce que nous avons appelé Le temps du confinement, première partie de ce hors-série Pandémie, vies humaines. […]
Le numéro initialement prévu est annulé, alors, ou juste repoussé ? Qu’en est-il des 200 participations reçues ?
@Kob : ni annulé, ni repoussé, il sort fin juin 🙂
Super. Merci pour la réponse 🙂