par Yannick Duc . Photo Yannick Duc « On ne peut pas sĂ©parer la pandĂ©mie de notre condition Ă©cologique, de lâatteinte Ă la biodiversité⊠» Acheter ce numĂ©ro en LIVRE PAPIER Iinformations & souscription PandĂ©mie 2020, vies humainesrevue en ligne par nos auteurs, photographes et nos invitĂ©s Accueil Ădito Sortir en LIVRE PAPIER 2/ LEâŠ
Catégorie : Le temps du confinement
. par Marie-France Lesage . Cosimo, tu as vingt mois et quand tu en auras soixante comme moi, tu ne te souviendras plus du sceÌnario de science-fiction dans lequel nous venons dâentrer. Ă cet aÌge, tu auras la nostalgie de tes racines et certainement lâenvie de me lire. . Vendredi 13 mars 2020 Le coupâŠ
. par Christina Mirjol . Fabulettes / 1, / 2, /3, /4 . Fabulette / 4 . Leur fenĂȘtre sur rue Ă©tait toute grande ouverte et je voyais leur table, leur jolie table carrĂ©e, et donc comme jâĂ©tais lĂ , Ă passer par hasard, devant cette jolie table, je me suis arrĂȘtĂ©. Bonsoir. Bonsoir madame. JeâŠ
. par Christine Laurent-Vianaud cadre de santĂ© formatrice . Sensations et informations mâarrivent de toutes parts des professionnels de santĂ© que je cĂŽtoie. Cette semaine, je me sens trĂšs extĂ©rieure, puisque mise en congĂ©s forcĂ©s alors que câest le feu dans beaucoup dâhĂŽpitaux. Une de mes collĂšgues-amie a contractĂ© le virus en service, une autreâŠ
. par Thomas Pietrois-Chabassier . Trouvez-moi, sâil vous plaĂźt quelque chose, pas grand-chose, quelque chose qui ressemble Ă la foule, encore, des gens que je ne connais pas dĂ©jĂ , que jâaimerai beaucoup, trĂšs vite, trĂšs peu, que jâoublierai demain, et trouvez-moi des nuits, sans mĂ©fiance ni contrĂŽle, trouvez-moi un vieux bar un peu crade oĂčâŠ
. par Souhila Omar . La ville ne rugit plus… La ville n’est plus la mĂȘme depuis le confinement. Lorsque je sors, c’est un rĂ©veil Ă©trange, j’ai l’impression d’avoir emmĂ©nagĂ© dans une autre ville, un autre monde, une autre planĂšte. Je marche, ma canne blanche Ă la main et un sentiment d’effroi me saisit. J’essaieâŠ
par Sophie Bernier . Nous publions ici Ă mesure que Sophie Bernier les Ă©crit ses 7 pĂ©chĂ©s du confinement. . Boisbriand, au QuĂ©bec, 10 mai 2020 La luxure Je me crache dans les mains. Jâempoigne son sexe pour le finir dans ma bouche. Je sais quâil aime ça quand je crache dessus parce quâils aimentâŠ
Les hommes Ă leurs fenĂȘtres – Les hommes Ă leurs fenĂȘtres regardent au loin la merde prĂ©s aux herbes follesprivĂ©s de cabotage les marins dans leur tĂȘtescrutent et scrutent encorele ciel quand les Ă©toiles leur montrent le cheminâ toujours lĂ , les Ă©toilesmais oĂč est le chemin ?Lâhorizon est bancal depuis quelque temps. Les hommes Ă leursâŠ
Nous sommes confinĂ©s et inquiets. Pendant ce temps, ici, le printemps est insolent et la nature exulte.par Florence White . 8 mai Pourtant les fleurs #9 5 mai Pourtant les fleurs #8 2 mai Pourtant les fleurs #7 29 avril Pourtant les fleurs #6 26 avril Pourtant les fleurs #5 23 avril Pourtant les fleursâŠ
ChĂšre Isabelle, Merci pour ton message « Pourtant ». CĂŽtĂ© BrĂ©sil, comme tu le sais, le meilleur moyen de communiquer est la musique. Un poĂšte de chez nous, Caetano Veloso, a dit « si tu as une idĂ©e incroyable, il vaut mieux faire une chanson⊠» Alors, au milieu de la folie prĂ©sidentielle que nousâŠ
par Eddie Clark et Tiina Heiskanen Craigleith from North Berwick, Scotland [Eddie Clark] 56° nord Home Life APRIL 2019 Now children, children, whatâs going on?Just look outside: thereâs lovely sun.But youâre here lounging in the house.So many reasons to go out:The sunshine and the fresh air weGet daily, living by the sea.Youâre lucky, in thisâŠ
par Valérie Souchon
Jour 16
23 mars
Pendant ce temps
on lance à la volée
des mots d’acier
comme des paquets de sable
jetés sur la digue
sur le point de céder.
par Sarcignan
Depuis le Haut-Rhin, Ă deux pas de l’Allemagne, la chronique de Sarcignan, photographe et auteur.
Jours 55 et 56
Fin du confinement
Annonce vue par une lectrice de Pourtant Ă Lyon, sur les pentes de Croix-Rousse : « Je suis une fille de 27 ans avec une trĂšs bonne immunitĂ© â je mange de l’ail cru pour le matin… »